Quand
les larmes ont trop coulé,
Quand
le cœur a trop saigné,
Quand
tu es crucifié,
C’est
qu’il est venu, le temps d’espérer.
Quand
tu ne peux plus prier,
De
douleur asphyxié,
Quand
tout est dépassé,
Qu’aux
enfers tu es allé,
Continue
à espérer.
Quand
tout est voilé,
Que
tu sembles abandonné,
Tais-toi ;
il te faut écouter,
Et,
sur Son cœur, délicieusement reposer.
Il
est proche, Il est là, le Bien-Aimé.
C’est
l’Onguent sur la plaie,
La
Lumière dans l’obscurité,
C’est
l’Amour couronné,
C’est la Raison d’espérer.
Encore et encore la foi
RépondreSupprimerA ton bien-aimé,fais de toi
Forteresse d'amour en émoi
Inebranlable confiance en soi
Sa majesté Eros règne de plein droit
L'aimant attire le metal c'est une loi
De la nature;l'amour chante à vive voix
Izarra!De mon coeur tu es le roi!!!